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14 Juin 2014 - dépannage, maintenance, suppression de virus et formation informatique sur Paris

Les pannes de disque dur restent la principale cause de perte de données selon la dernière étude Etude Kroll Ontrack.

Photo Frédéric Hourdeau

News

le 14/06/2014 à 19h10

Laboratoire Kroll Ontrack

Une récente étude réalisée en clientèle par Kroll Ontrack, leader sur le marché de la récupération de données et de la recherche d’informations, fait apparaître que les pannes de disque dur ont plus que doublé en 4 ans et constituent la cause la plus courante de perte de données.


Concernant leur perte de données 66 % (seulement 29 % en 2010) des personnes interrogées (1) ont cité une panne ou une défaillance matérielle,

suivi de 14 % pour une erreur humaine (27 % en 2010).

La défaillance logicielle arrive seulement en troisième position des causes de perte de données, avec 6 %.

Les pannes de disque dur (HDD) constituent la cause la plus courante de perte de données.

Ainsi 72 % des personnes interrogées ont indiqué que la perte de leurs données la plus récente était due au disque dur de leur  ordinateur de bureau ou portable, suivi d’un disque SSD (15 %) et de services virtuels/RAID (13 %).(3)

Ceci montre que la perte de données concerne tout type de stockage, depuis le format grand public jusqu’au format d’entreprise.

Antoine Valette, responsable marketing France chez Kroll Ontrack explique : « La raison est simple : bien que les ventes de disques durs soient en baisse, elles devraient encore dépasser les ventes de disques SSD, avec un rapport de trois pour un en 2014 ». « Il y a plus de disques durs en circulation tout simplement parce qu’ils sont rentables et que les fabricants ont perfectionné leur conception et leur production ».

« En conséquence, les disques durs représentent la grande majorité des récupérations de données que nous effectuons ».

L’étude des réponses montre que les pannes d’ordinateurs de bureau et portables sont la principale cause de perte de données aussi bien pour les entreprises que pour les particuliers (environ 70%), tandis que les pertes sur des dispositifs SSD viennent ensuite, avec 18 % pour les particuliers et 10 % pour les entreprises.

« Les supports de stockage connaissent des défaillances quel que soit leur type ; c’est juste une question de temps. Puisque les disques durs restent le support le plus répandu, leurs pannes continuent d’être la cause la plus courante de perte de données »souligne Antoine Valette.

Les recommandations :

Pour éviter ce type de défaillance, il faut

-         défragmenter régulièrement le disque,

-         contrôler sa capacité de stockage

-         et exécuter un logiciel antivirus, ainsi qu’un logiciel de surveillance du disque dur.

« Au-delà des bonnes pratiques d’entretien, les entreprises et les particuliers doivent mettre en place une redondance active, par exemple un service ou dispositif de sauvegarde, ainsi qu’un plan de continuité à jour et accessible en cas de perte ».

Les conséquences des pertes de données :

27 % des entreprises indiquent que leur perte la plus récente a perturbé un processus métier, en les empêchant de fournir un produit ou un service à leurs clients.

15 % indiquent avoir perdu des données personnelles sur leur ordinateur professionnel,

Alors que  7 % des personnes reconnaissent avoir perdu des données liées à leur entreprise sur leur ordinateur personnel.

Pour A .Valette :« Le stockage des données évolue, tout comme le nombre d’endroits où nous les stockons »

 

(1)  Kroll Ontrack a interrogé 1066 clients ayant demandé récemment une récupération de données dans 10 pays en Amérique du Nord, Europe et Asie-Pacifique. 48 % étaient des entreprises, 32 % des particuliers, 13 % des partenaires et 3 % des entités gouvernementales.


(2) Un SSD, pour solid-state, est un matériel informatique permettant le stockage de données sur de la mémoire flash.

Le terme anglais « solid-state» signifie que ce matériel est constitué de mémoires à semi-conducteurs à l'état solide contrairement aux disques durs classiques, où les données sont enregistrées sur un support magnétique en rotation rapide.

Le SSD est plus solide qu'un disque dur, les plateaux de ces derniers étant de plus en plus souvent en verre depuis 2003. Ceci permet une résistance aux chocs et aux vibrations bien plus importante que les disques mécaniques. Les SSD surclassent les disques durs classiques au niveau de la performance (débit, latence inexistante sur les SSD, consommation).

Cependant, en 2012, le rapport prix-espace de stockage restait  encore près de dix fois moins cher pour le disque mécanique.


(3) En informatique, le mot RAID désigne les techniques permettant de répartir des données sur plusieurs disques durs afin d'améliorer soit les performances, soit la sécurité ou la tolérance aux pannes de l'ensemble du ou des systèmes.

L'acronyme RAID a été défini en 1987 par l'Université de Berkeley. Aujourd'hui, le mot est devenu l'acronyme de Redundant Array of Independent (or inexpensive) Disks, ce qui signifie « regroupement redondant de disques indépendants ».

Le coût au mégaoctet des disques durs ayant diminué d'un facteur  de l’ordre de 1 300 000 en 29 ans, le RAID est aujourd'hui choisi pour d'autres raisons que le coût de l'espace de stockage.



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