A l'instar des fournisseurs historiques, Deezer, Spotify ou Pandora, le service lancé en mai aux Etats-Unis, donne accès à «des millions de titres» de majors ou label indépendants ainsi qu’à l'écoute de radios interactives personnalisées.

Les utilisateurs peuvent également stocker en ligne gratuitement jusqu'à 20 000 titres qui pourront être écoutés, en plus de ceux disponibles en accès illimité, sur  des « Androids » ou via un site dédié.

Gratuité pendant un mois

Offert pendant un mois, le service «illimité» passe ensuite à 7,99 euros s'il est souscrit avant le 15 septembre, et à 9,99 euros au-delà de cette date (10 dollars par mois actuellement aux USA).

Google compte ainsi rattraper son retard avec, en face, un marché de plus en plus concurrentiel, notamment avec numéro un mondial, le suédois Spotify.

Dans le cadre d'un partenariat avec Spotify et le magasin iTunes d'Apple Twitter avait déjà  lancé au printemps un nouveau service musical.

Selon une récente  étude, les revenus numériques étaient assurés à 70 % par le téléchargement avec une augmentation de 12 % (soit 4,3 milliards d'unités) en 2012 alors que dans le même temps, les revenus générés par le streaming ont augmenté de 44 %.