17 Janvier 2017 - dépannage, maintenance, suppression de virus et formation informatique sur Paris

Plume Air Report : L'appli mobile permettant de mesurer en temps réel l’exposition à la pollution.

Photo Frédéric Hourdeau

News

le 17/01/2017 à 21h00

La start-up Plume Labs a mis au point un petit capteur connecté à une application mobile permettant  de suivre en temps réel la qualité de l’air respirée.


Grace à un petit capteur, tenant dans le creux de la main, connecté à une application mobile, on pourra suivre en temps réel et en cliquant  sur son smartphone la qualité de l’air que l’on respire et  son exposition personnelle à la pollution, à domicile, en déplacement ou au travail.

Selon Romain Lacombe, cofondateur de Plume Labs avec David Lissmyr, son collègue de l’Ecole polytechnique: «Aujourd’hui, les équipements d’analyse de la pollution de l’air sont fixes et volumineux. Grâce à un long travail de miniaturisation de ces technologies lourdes et complexes, nous voulons rendre accessible à tous la mesure de la pollution ».

« La pollution est un phénomène invisible. Mais, en étant informé, on peut mieux se protéger et prendre conscience que l’on peut soi-même agir pour préserver sa santé».

Grace à ce capteur, chacun pourra ainsi connaître en tout lieu sa propre exposition aux quatre principaux polluants intérieurs et extérieurs :

les particules fines, le dioxyde d’azote, l’ozone, et les composés organiques volatils.

Adapter, en toute connaissance de cause, ses activités.

A terme, l’application mobile devrait fournir aussi des recommandations pratiques et des alertes personnalisées : aérer son intérieur pour évacuer les allergènes et améliorer son sommeil, choisir le bon moment pour un jogging ou une balade.

Quatre petites icônes, représentant quatre activités (courir, faire du vélo, sortir avec des enfants en bas âge, se détendre à une terrasse de café) changent de couleur en fonction du niveau de pollution.

L’équipe de Plume Labs voit plus loin. « Au-delà de la capacité de chacun à adapter ses activités, les données collectées par les capteurs, anonymisées et agrégées, peuvent alimenter des cartes de la pollution, des bases, dont la recherche pourra tirer parti ».

« La diffusion massive de ces capteurs ouvre des perspectives très intéressantes : « Il s’agit d’un véritable observatoire citoyen de la pollution, au plus près de la réalité quotidienne des individus, dont va pouvoir bénéficier la recherche », selon Jean-François Doussin, chercheur du Laboratoire interuniversitaire des systèmes atmosphériques au CNRS, qui a suivi de près tout le travail de miniaturisation entrepris par l’équipe de Plume Labs.

L’application compte, sur Paris, plus de 10 000 utilisateurs.


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