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12 Janvier 2015 - dépannage, maintenance, suppression de virus et formation informatique sur Paris

Apologie du crime, incitation à la haine et au terrorisme : deux hommes d’ores et déjà jugés lundi pour apologie d'actes de terrorisme, dont l’un sur Facebook.

Photo Jean-Pierre Hourdeau

News

le 12/01/2015 à 22h00

Nettoyage du web

Que le « nettoyage » salutaire de la « toile » commence ! Deux hommes seront jugés lundi pour «apologie d'actes de terrorisme» après s'être réjouis publiquement des attentats contre Charlie Hebdo.


Déjà deux individus ont été poursuivis :

L’un, pour des cris de soutien aux terroristes lancés en direction de policiers à Nice. Interpellé, il a été placé en garde à vue et a été déféré devant un juge dimanche. Il doit être jugé lundi pour ces faits en comparution immédiate devant le tribunal de Nice.

L'apologie de l'attentat contre Charlie Hebdo sur Facebook.

Un homme, âgé de 30 ans et soupçonné d'avoir fait l'apologie de l'attentat contre Charlie Hebdo sur Facebook, sera par ailleurs  jugé au tribunal correctionnel de Strasbourg.

Il avait publié une photo montrant une kalachnikov à terre accompagnée de mots de « réjouissance », selon les Dernières nouvelles d'Alsace.

Cet individu est poursuivi pour apologie par voie électronique d'un crime en relation avec une action terroriste.

Il a été présenté vendredi après-midi à un magistrat du parquet. Déjà connu de la justice pour des faits de droit commun, il n'aurait pas expliqué la raison de cette publication et assuré… ne pas être le créateur de la photo, selon le journal.

Une répression sévère nécessaire :

Le fait de faire publiquement l'apologie des actes de terrorisme est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 € d'amende. La propagation de ces messages sur Internet porte les peines à sept ans d'emprisonnement et 100 000 € d'amende. (1)

La propagation de la haine :

Vendredi matin, Lemonde.fr rapportait que Bernard Cazeneuve avait indiqué aux préfets que 3 721 messages faisant l'apologie des attentats avaient été recensés sur les réseaux sociaux.

Au soir de l'attaque contre Charlie Hebdo, mercredi, la police nationale avait invité sur Twitter les internautes à signaler les «contenus et comportements illicites» via sa plateforme Pharos (1).

Pour  Roger Cukierman, Président du Crif : «il est intolérable que sur les réseaux sociaux, il y ait eu un hashtag disant "je suis Kouachi", cet assassin, et que ce hashtag ait eu 18.000 tweets».

Sur Twitter, un hashtag #JeSuisKouachi est en effet apparu vendredi et a, en fait, été tweeté 28.000 fois depuis, selon Topsy.com.

«C'est de l'apologie de meurtre et ça relève du pénal», a dénoncé le président du Crif, estimant que les réseaux sociaux doivent apprendre «à ne pas contribuer à la haine».

28 000 discours de haine face aux millions de citoyens qui ont manifesté ce week-end contre la barbarie, c’est peu dira-t-on, mais ce sont 28 000 tweets de trop !


(1)           Voir notre article :

Suite au carnage le 7 janvier, dans les locaux Charlie Hebdo, qui a décimé la rédaction du journal satirique, les internautes se sont immédiatement emparés, tout  autour du monde, des hashtags #CharlieHebdo et #JeSuisCharlie pour manifester leur émotion et leur soutien.- Dépannage, réparation, installation et maintenance informatique à domicile Paris 7éme 75007

Une carte animée montrant les tweets #JeSuisCharlie dans le monde entier le 7 janvier. - News - publié le 11/01/2015


Suite au carnage le 7 janvier,dans les locaux Charlie Hebdo, qui a décimé la rédaction du journal satirique, les internautes se sont immédiatement emparés, tout  autour du monde, des hashtags #CharlieHebdo et #JeSuisCharlie pour manifester leur émotion et leur soutien.

Le ministère de l'intérieur suit activement les signalements de messages publiés sur Internet se réjouissant du carnage exécuté dans les locaux de Charlie Hebdo. Les auteurs, s'ils sont poursuivis, risqueront jusqu'à 7 ans de prison.- Dépannage, réparation, installation et maintenance informatique à domicile Paris 7éme 75007

Jusqu'à 7 ans de prison pour les messages d'apologie du terrorisme sur internet et les réseaux sociaux. - News - publié le 11/01/2015


Le ministère de l'intérieur suit activement les signalements de messages publiés sur Internet se réjouissant du carnage exécuté dans les locaux de Charlie Hebdo. Les auteurs, s'ils sont poursuivis, risqueront jusqu'à 7 ans de prison.



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