Selon «VentureBeat », fin 2017, les GPU équipant les puces mobiles devraient dépasser en puissance  ceux des consoles de jeux actuelles.

Avec une puissance de calcul de 2 téraflops, les GPU mobiles d’ARM seront en mesure de surpasser la PS4, qui n’affiche que 1,84 téraflops de puissance de calcul.

Cette progression serait nécessitée par l’accroissement de la résolution des écrans des smartphones, et leurs forts besoins en graphismes de haut niveau.

Par ailleurs, on apprend que Samsung vient de mettre en production des modules de stockage UFS 2.0 de 256 Go, qui pourront prendre place dans des smartphones et tablettes, et devraient atteindre des performances comparables à celles des SSD d’entrée de gamme.

ð D’autres concepteurs de puces mobiles souhaitent aller plus loin et plus vite et proposent ainsi leurs propres cœurs de processeurs :

-        Apple, avec son A9X (cœurs Twister),

-        Samsung, avec son Exynos 8890 (cœurs M1),

-        et Qualcomm, avec son Snapdragon 820 (cœurs Kryo).

Si les puces ARM ne sont pas encore au niveau de leurs homologues desktop sur certains points (nombres flottants, bande passante mémoire, etc.), la progression est rapide, avec une généralisation des offres à 8 cœurs, y compris sur l’entrée de gamme, comme le MediaTek Helio P20, qui propose 8 cœurs Cortex-A53 et un support de 6 Go de DDR4.

ð Des smartphones disposant de :

-         8 cœurs 64 bits cadencés à plus de 2 GHz,

-        un GPU de 2 téraflops,

-        6 Go de RAM

-        >et 256 Go d’espace de stockage…

Ceci ressemble aux caractéristiques de certains PC actuellement proposés sur le marché !