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e Santé : Un premier dispositif connecté bientôt remboursé par la sécurité sociale ?

Photo Frédéric Hourdeau

News

le 31/08/2017 à 21h30

Le lecteur de glycémie  connecté FreeStyle Libre est acclamé par les patients mais attend une évaluation en bonne et due forme.


Bracelet, montre d'activité, balance, pilulier, thermomètre, tensiomètre, glucomètre, électrocardiographe...

La liste des objets connectés à vocation de bien-être, d'hygiène de vie et de gestion de maladies chroniques, comme le diabète ou l'insuffisance cardiaque, s'allonge de jour en jour. Les prix, de plus en plus abordables, leur assurent un succès commercial croissant.

Dans la lutte contre les effets du diabète de nouveaux dispositifs apparaissent sur le marché : ainsi l’on peut utiliser un lecteur de glucose en continu, grâce à un système de capteur sous-cutané qui a considérablement amélioré son confort de vie des diabétiques.

« J'ai moins besoin de penser à mon diabète », explique une canadienne installée à Paris qui dispose de cet « équipement ».

«En cas de risque d'hypoglycémie, une alarme retentit et je peux réagir en avalant tout de suite un jus de fruit ou un morceau de sucre sans avoir à me piquer le doigt»

Cette quadragénaire avait dû vaincre les réticences de son médecin qui le trouvait trop coûteux (environ 1 000 euros pour le kit de démarrage).

Depuis, d’autres dispositifs sont apparus  comme le FreeStyle Libre d'Abbott, un produit un peu moins sophistiqué mais beaucoup moins cher (70 euros à l'achat, plus 60 euros pour les capteurs dotés d'un micro-filament inséré sous la peau, renouvelés chaque quinzaine) créant un véritable engouement (si l’on peut dire !).

A tel point que la Haute autorité de Santé vient de donner, fin septembre, un avis favorable à son remboursement.

ð Une première en France, aucun dispositif connecté n'étant pour le moment pris en charge par la Sécurité sociale.

Le sujet suscite, par ailleurs, l'intérêt grandissant des assureurs et des mutuelles de santé.

Après avoir mis en ligne un guide gratuit d'évaluation d'une palette d'objets connectés, Harmonie Mutuelle a ouvert en avril sa première agence digitalisée, à Angers, pour présenter ces objets et leurs utilisations.

Quant à Generali, il doit lancer prochainement  en France le premier contrat comportemental visant à encourager une meilleure hygiène de vie et un auto-suivi régulier.

En France, un internaute sur quatre de plus de 15 ans utilise une appli, un bracelet ou une montre pour suivre sa santé.

C’est, selon une étude récente de GfK , « essentiellement pour maintenir ou améliorer sa condition physique » et « faire de l'exercice ».

A l'échelle internationale, c'est déjà plus d'un tiers de cette population, surtout les 20-39 ans, qui est adeptes de ces nouvelles ressources technologiques.

Aux États-Unis et en Corée du Sud, où les coûts de la santé penchent davantage en faveur de la prévention, la percée de ces « mini-coachs » médicaux est encore plus marquée.


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