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Photographie du marché de la téléphonie mobile en France au 1er trimestre 2017 par l’ARCEP.

Photo Frédéric Hourdeau

News

le 22/05/2017 à 23h00

Sur le marché français de la téléphonie mobile, les abonnés privilégient les forfaits sans engagement ; ce comportement a eu pour effet de faire baisser les prix.


Malgré un taux de pénétration du mobile en France d'un peu plus de 109%, la croissance se maintient.

Au 1er trimestre 2017, l'Arcep dénombre 73 millions de cartes SIM en France. Cela représente une croissance trimestrielle de 75.000 cartes.

La raison : la progression des forfaits ou marché du post-payé (+575.000). Celle-ci compense nettement le repli des cartes prépayées qui en trois mois s'est élevé à 500.000.

Sur un an, la croissance atteint + 1,7% avec  1,2 million de cartes supplémentaire.

ð Les gagnants du marché : opérateurs de réseaux

Selon l’ARCEP, « L'accroissement est entièrement attribuable aux opérateurs de réseaux dont le parc progresse de + 160.000 alors que celui des opérateurs virtuels (MVNO) baisse de - 110 000, même si leur part de marché demeure à peu près stable (10,5% au 1er trimestre 2017).

Les opérateurs de réseaux font la loi sur le marché français: la force du sans engagement.

Au 1er trimestre 2017, le parc de ces derniers a progressé de 160.000 cartes.

Le sans-engagement devient  la norme

Au début de ce marché, les consommateurs français souscrivaient majoritairement à des forfaits avec terminal subventionné,  à des prix bien supérieurs à ce qu'ils sont aujourd'hui.

Puis, avec l'arrivée de Free Mobile notamment, les abonnés ont commencé à privilégier, très largement, des forfaits sans engagement, et nus (sans subventionnement du smartphone).

Aujourd’hui, ces derniers représentent 70,7% des forfaits sur le marché résidentiel (37,1 millions).

En intégrant les entreprises, le parc s’élève à près de 40millions de cartes.

L'Arcep observe, globalement, que pour le quatrième trimestre consécutif, le nombre de lignes mobiles des entreprises (8,2 millions) s'accroit de plus de 50.000 cartes au cours du trimestre permettant un retour à un taux de croissance annuel d'environ +3% comme en 2015.

ð Le régulateur observe par ailleurs que « la fluidité du marché des services mobiles se confirme au premier trimestre 2017 »

Les abonnés sont nombreux à changer d'opérateur.

Sur les trois premiers mois de l'année, 2,3 millions l'ont fait tout en conservant leur numéro.

Cette tendance est liée à la préférence pour le sans engagement.

65,8% des forfaits commercialisés sont libres d'engagement (70,7% pour le résidentiel).

Mauvaise série pour les MVNO –

Facture de la téléphonie mobile

Pour les forfaits la moyenne passe de de 26,40€ à 16,10€ en 7 ans

Ainsi, payer plus de 20 euros par mois pour un forfait téléphonique n'est assurément plus la règle pour une majorité de Français.

ð Selon l'Arcep, en moyenne, un abonné a payé 16,1 euros par mois en 2016 pour le mobile.

Les opérateurs, aimer aient bien voir cette facture se réengager sur la pente ascendante !

A ce sujet, si la baisse s'est poursuivie en 2016, elle s’est toutefois nettement ralentie.

Entre 2015 et 2016, la facture mensuelle moyenne est ainsi passée de 16,4 à 16,1 euros, bien moins que les années précédentes : cela se retrouve  dans les résultats des principaux opérateurs, dont Bouygues Telecom.


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