28 Octobre 2017 - dépannage, maintenance, suppression de virus et formation informatique sur Paris

Les opérateurs télécoms européens font front commun contre le nouveau code des télécoms en préparation. Objectif : «créer des conditions d’investissement favorables en Europe».

Photo Frédéric Hourdeau

News

le 28/10/2017 à 22h00

31 cosignataires ont adressé une lettre commune aux autorités européennes, à Bruxelles. Ils s’insurgent, contre l’orientation du nouveau code des télécoms qui va, selon eux, à l’encontre de ce qu’il faut faire pour créer la « Gigabit Society ».


Fait inédit, 31 patrons des plus grands opérateurs et équipementiers télécoms européens ont effectué une démarche commune.

On y retrouve Orange mais aussi Telefonica , Deutsche Telekom, KPN, Telenor et aussi notamment Nokia ou d'Ericsson.

Tous s’alarment de l’orientation prise par le projet de code des télécoms, dont les négociations débutent entre le Parlement, la Commission Européenne et les gouvernements.

A eux tous, ils représentent 26,6 milliards d’euros d’investissement par an.

« Une grande pression réglementaire et des règles désuètes ont déjà porté préjudice au secteur télécom européen par le passé », soulignent-ils.

-         Ils demandent donc un assouplissement des règles d’investissement afin de créer ce que l’on nomme la « Gigabit Society ».

L’objectif est de créer des conditions d’investissement favorables en Europe.

-         Chaque citoyen européen devra accéder à une connexion Internet très haut débit d’ici 2025 qu’elle soit fixe (fibre) ou mobile (5G).

Depuis une dizaine d’années, le secteur est économiquement instable. Les revenus des opérateurs baissent, alors que la pression de la course à la 5G s’accentue avec l’Asie et l’Amérique du Nord.

500 milliards d’euros doivent être mobilisés pour atteindre la création de la Gigabit Society.

Pour cela, la Commission Européenne avait pris des mesures en 2016, en favorisant le co-investissement dans les réseaux fixes et en souhaitant harmoniser les procédures d’enchères dans les fréquences.

Mais le Parlement a donné une fin de non-recevoir début octobre : dans les grandes lignes, il ne compte pas accorder autant de libertés aux opérateurs et souhaite même les contraindre sur certains points.

D’un côté donc, la Commission, plutôt favorable aux demandes des opérateurs, de l’autre le Parlement européen, hostile à une trop grande liberté donc…

A noter par ailleurs que les gouvernements ne souhaitent pas, en majorité, voir des décisions stratégiques d’opérateurs nationaux être dictées par l’Europe.


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